"C'est lundi ! Que lisez-vous?" C'est une idée originale créé par Mallou, maintenant coordonnée par Galleane.
On répond comme chaque Lundi à trois petites questions :
1. Qu'ai-je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je en train de lire en ce moment?
3. Que vais-je lire ensuite ?
Ce que j'ai lu la semaine passée :
Du 28 septembre au 4 octobre 2015
Du 28 septembre au 4 octobre 2015
Une très belle semaine de lecture pour moi. J'ai eu le plaisir de lire trois livres très différents les uns des autres, mais tous aussi passionnants les uns que les autres. Je vous en reparle donc très vite !
- La nuit de feu, de Eric-Emmanuel Schmitt
- A l'encre bleue, de Nadine Thirault
- A l'encre bleue, de Nadine Thirault
- Les Belles Danses, de Marie Desplechin & Jean-Michel Othoniel
Ce que je suis en train de lire :
- Camille, mon envolée, de Sophie Daull
Dans les semaines qui ont suivi la mort de sa fille Camille, 16 ans,
emportée une veille de Noël après quatre jours d’une fièvre sidérante,
Sophie Daull a commencé à écrire.
Écrire pour ne pas oublier Camille, son regard « franc, droit, lumineux », les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l’après, le vide, l’organisation des adieux, les ados qu’il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent… Écrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l’enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes.
Loin d’être l’épanchement d’une mère endeuillée ou un mausolée – puisque l’humour n’y perd pas ses droits –, ce texte est le roman d’une résistance à l’insupportable, où l’agencement des mots tient lieu de programme de survie : « la fabrication d’un belvédère d’où Camille et moi pouvons encore, radieuses, contempler le monde ».
- Le métier de vivant, de François SaintongeÉcrire pour ne pas oublier Camille, son regard « franc, droit, lumineux », les moments de complicité, les engueulades, les fous rires ; l’après, le vide, l’organisation des adieux, les ados qu’il faut consoler, les autres dont les gestes apaisent… Écrire pour rester debout, pour vivre quelques heures chaque jour en compagnie de l’enfant disparue, pour endiguer le raz de marée des pensées menaçantes.
Loin d’être l’épanchement d’une mère endeuillée ou un mausolée – puisque l’humour n’y perd pas ses droits –, ce texte est le roman d’une résistance à l’insupportable, où l’agencement des mots tient lieu de programme de survie : « la fabrication d’un belvédère d’où Camille et moi pouvons encore, radieuses, contempler le monde ».
Durant leur scolarité à Stanislas, deux cousins de la grande
bourgeoisie, Max et Léo, et un fils de famille aristocratique, Lothaire,
forment un trio soudé que la guerre de 1914 va séparer avant que la
paix ne les réunisse.
Pied-bot désinvolte et érotomane pratiquant, Lothaire échappe à la conscription. Léo, pilote breveté, et homme de devoir, accomplit le sien. Max demeure embusqué à la Maison de la Presse où il officie aux côtés de Cocteau et de Giraudoux avant de partir combattre en 1917 sur le front d’Orient. Démobilisé, Max accompagne avec son habituelle nonchalance la révolution surréaliste et se fait marchand d’art. Une histoire d’amour passionnelle et énigmatique l’attache par intermittence, durant plus de vingt ans, jusqu’au dénouement à Londres durant le Blitz, à Dionée Bennet. Cette jeune aventurière, devenue grand reporter, couvre tous les conflits des années vingt et trente. Elle est le parfait sosie de Max en femme : sont-ils frère et sœur, incestueux à leur insu ? Et pourquoi semble-t-elle ne pas s’étonner de leur confondante ressemblance ?
Pied-bot désinvolte et érotomane pratiquant, Lothaire échappe à la conscription. Léo, pilote breveté, et homme de devoir, accomplit le sien. Max demeure embusqué à la Maison de la Presse où il officie aux côtés de Cocteau et de Giraudoux avant de partir combattre en 1917 sur le front d’Orient. Démobilisé, Max accompagne avec son habituelle nonchalance la révolution surréaliste et se fait marchand d’art. Une histoire d’amour passionnelle et énigmatique l’attache par intermittence, durant plus de vingt ans, jusqu’au dénouement à Londres durant le Blitz, à Dionée Bennet. Cette jeune aventurière, devenue grand reporter, couvre tous les conflits des années vingt et trente. Elle est le parfait sosie de Max en femme : sont-ils frère et sœur, incestueux à leur insu ? Et pourquoi semble-t-elle ne pas s’étonner de leur confondante ressemblance ?
Mes prochaines lectures :
Peut-être un autre livre numérique, un peu d'histoire ou une pièce de théâtre ... Comme d'habitude plusieurs livres me font envie, je choisirais celui qui me tente le plus sur le moment :)
Belle semaine de lectures ;-)
RépondreSupprimerJe ne connais pas tes lectures mais je te souhaite une très bonne fin de semaine en leur compagnie. :)
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